Après une courte éclipse, une reprise du dialogue est amorcée avec le comité interprofessionnel du lait (CIL).
Les membres du CIL ont insisté sur les difficultés de financement et ont émis le souhait d’avoir les possibilités de recourir aux services d’autres établissements financiers.
L’écueil de l’agrément bloque la reconnaissance du conseil interprofessionnel, l’administration centrale s’est engagée à régler le problème avec les services du ministère de l’intérieur.
Les modalités pratiques pour le transport des fourrages (ensilage de maïs enrubanné) des nouveaux pôles de production vers le nord seront étudiées avec le ministère du commerce, afin d’éviter toute incompréhension fiscale.
Enfin, les activités de l’interprofession laitière seront relancées en privilégiant les rencontres au siège de l’ONIL.